Une princesse Occitane


mars 29, 2017 Facebook Twitter LinkedIn Google+ Histoires Erotiques



Nous nous sommes donné rendez vous, un rendez vous qui n’avait rien de spécial. Le lieu peut être … une plage, une plage connue pour être une plage de liberté. La liberté c’est faire ce que l’on veux, quand on veux, sans être importuné. Mais sur les plages comme celle ci, il y a toujours un petit curieux, que dis-je ? un voyeur grotesque et lourd dans sa manière de faire, qui a un moment peut tout gâcher.

Cette plage, cette magnifique plage, c’est la plage des Aresquiers. Il faut en venant de Vic le Gardiole prendre le pont qui enjambe le « canal du Rhone à Sète » et juste après la descente tourner à gauche en direction du parking. Puis prendre à pied le long de la mer en direction de l’Abbaye de la Maguelone (direction Palavas). Nous nous trouvons sur la plus belle plage qui soit, sauvage, peu fréquentée, la nature et le naturisme sont ici présents comme nul part ailleurs. Nous nous sommes donc donné rendez vous sur cette plage sans arrière pensée. Juste avoir un espace de liberté, de solitude à deux, pour se rencontrer et discuter.

J’étais là bien avant l’heure pour profiter du soleil de fin Mars. Juste un soleil qui chauffe un peu sans trop agresser la peau. J’ai trouver un petit coin juste avant le centre de vacances, un petit coin un peu en retrait qui permet de profiter des rayons bienfaisants du soleil sans risquer d’être trop exposé aux regards libidineux de voyeurs indiscrets et malfaisants (vous avez donc compris que je ne les porte pas dans mon cœur). Je profite donc de ces instants de solitude, nu, comme il se doit sur cette plage. En attendant l’heure du rendez vous, je profite d’être seul et d’écouter la mer toute proche.

Puis le temps passe tranquillement et l’heure du rendes vous approche. Je m’habille et marche en direction du parking. Dans les tamaris, déjà des observateurs sont là …
Je prends mon téléphone
-coucou où es tu ?
-Juste vers le grand cerf-volant me répond t-elle.

Je la vois sur la plage, marchand tranquillement. Ce n’est pas une fille sur laquelle on se retourne dans la rue. Non c’est une femme, une vraie femme. Son grand manteau noir ouvert laisse apparaître sa robe rouge en lainage, une robe qui descend jusqu’aux pieds. Elle avance majestueusement, comme une princesse du temps passé. Une princesse occitane ! Une princesse que l’on rencontre dans la peinture préraphaélite, « La belle Dame sans merci » peut être. Sauf que celle qui est devant moi n’est pas rousse.

Bien posée sur ses jambes, bien droite, elle marchait en ma direction.
-Je te vois, je suis juste devant toi, lui retorqué-je
Arrivés face à face se fut comme un éclair, le premier baiser sur la joue, mais pas le deuxième … Nous nous embrassâmes comme des adolescents, à en perdre haleine …
Rien de cela n’était prévu, je viens de recevoir un coup dans la figure.
Nous étions là tous les deux à nous regarder. Que faire ???

Je lui explique que je suis ici depuis environ une heure, et lui propose de venir avec moi. Le lieu lui plaît. Je mets au sol ma grande serviette de plage, il y aura bien de place pour deux vue sa taille. Je m’assieds et elle m’imite. Nous sommes tous deux face à face. « La position ne va pas » me dis-je, je me mets à ces cotés, et là tout va très vite. Je l’embrasse, elle se laisse faire et joue le jeu. Mais ce n’est pas un jeu !

Ces mains dans mon dos, elles montent et descendent, me caressent. J’aime bien.
Nous sommes au soleil, elle a encore son lourd manteau sur les épaules. Il est vrai que l’air n’est pas très chaud, mais en plus d’être bien installés, nous sommes à l’abri du vent soit assez léger mais tout de même un peu frais. Je lui ôte son manteau … Elle est assise devant moi en robe rouge, les deux jambes du même coté et un peu penchée. Quand je disais une princesse tout à l’heure, c’est à ce moment, dans cette position, qu’elle est réellement une femme, pas une fille que l’on trouve des magasines, NON, une femme, une vraie femme. Une femme, qui bien que d’un physique assez commun, sait ce qu’il faut faire, comment se vêtir, se tenir, prendre soin de soi pour rayonner. Et elle rayonne !

Délicatement je lui dégrafe sa robe … ôte la première épaule, sa peau est douce et délicatement parfumée, puis je glisse ma main dans son dos pour dégrafer son soutien gorge. Nous les hommes, nous ne sommes pas bien doués pour ces choses, mais elle me laisse faire, et bien que maladroit dans cet exercice, je parvient à mes fins. Elle passe un bras dans la bretelle puis l’autre, son sous vêtement blanc délicatement plié est rangé dans son sac. Une épaule nue, pas de soutien gorge sous sa robe. Je en tarde pas à débarrasser l’autre épaule et descendre l’étoffe. Ses seins, magnifiques seins, pointent leurs tétons, la fraîcheur du printemps, l’envie, le désir … peut être un ensemble. Avant même de toucher ces seins lourds elle passe sa main droite sous le sein gauche, ou le contraire, je ne sais plus … et me dit « j’ai deux starters ».

Que voulait dire cette phase, sur le moment je n’ai pas compris la tournure exacte de cette expression. Peu importe, je ne vais pas mettre bien longtemps à comprendre. C’est la première fois que je rencontre une femme pareille. J’étais loin de m’imaginer qu’une femme pouvait avoir une sensibilité aussi prononcée au niveau des tétons. Juste de passer mes mains sur ses seins, j’entendais des petits gémissements, je dois reconnaître que j’y ai pris un grand plaisir. Elle s’est alors étendue, et mes lèvres se sont emparé de ses petites framboises durcies par le plaisir… puis ma bouche… je ne savais plus où donner de la tête, ou plutôt de la bouche. Nous étions étendus tantôt l’un contre l’autre, tantôt l’un sur l’autre.

Nous sommes bien restés ainsi 15 à 20 minutes, ses gémissements m’encourageaient et en bon amant que je tentais d’être, je faisais de mon mieux pour la satisfaire.
Sa main doucement glisse le long de mon dos, puis contourne mon corps et se pose sur mon jean à l’emplacement de mon sexe. Je me lève donc et ôte chaussures chaussettes et jean, puis je reviens m’étendre aux cotés de mon amie. Quelle Femme !!! Sa main caresse mon corps et s’arrête bien volontiers au niveau de mon sexe bien tendu. Je lui suggère donc « si tu le veux retire moi mon shorty», elle ne s’est pas fait prier, de ces deux mains avides elle s’exécute et pour l’aider je relève les fesses. En un tour de main je me retrouve juste avec mon tee shirt pour couvrir mon corps. Ses mains, complètement affolées affamées assoiffées se promènent sur mon corps et caressent mon sexe de plus belle. Sa main monte et descend le long de mon sexe bien tendu par le plaisir et ainsi me dit elle d’un air tout à fait dégagé « dis donc tu es bien membré ».

Ouf !!!! Que dire de plus à un homme pour flatter son ego ? Il est vrai toutefois je la nature m’a doter un sexe de taille plus que confortable et j’en suis bien heureux et fier.
Sa main, sur mon sexe complètement lisse, bien épilé, enfin bien rasé continue son va et vient avec une régularité que seule une femme mûre et expérimentée peut soutenir.
Je suis allongé sur le dos, le jambes écartées, elle est à genoux entre mes jambes et se régale de me caresser le sexe. Je vois dans ses yeux une petite lueur coquine.
Je me redresse et me retrouve donc face à ma amante, de long baisés s’en suivent. Les voyeurs sont là, tout proches, indiscrets et grotesques. Je les chasse, mais rien n’y fait ils reviennent par un autre coté. Pauvres personnes …

Je me penche sur l’épaule son et lui suggère « Veux tu que je te pénètre ? »
Sa réponse fût sans appel « Non, jamais à la première rencontre »
Elle prit ma main et la guide sous sa robe, le long de ses cuisses chaudes, douces et sensuelles. Tout doucement elle dirige ma main à son entrecuisse, j’ai largement le temps de caresser ses cuisses, l’une puis l’autre et chaque centimètre et une découverte. Ma main toujours guidée arrive enfin sur son sexe … ouvert humide et ma grande surprise, poilu ! Elle ne s’épile donc pas. Cela fait longtemps que je n’ai pas eu un sexe de femme non glabre. Ma main découvre la chaleur humide de son calice, ses lèvres bien ouvertes ne demandent qu’a être caressées. Toujours bien guidé dans cette entreprise, je suis avec délectation les mouvements de sa experte. Pendant un long moment, face à face, tous les deux à genoux, je caresse son sexe. A certains passages, je sens bien que sa main presse sur la mienne pour m’inciter à laisser mon majeur visiter sa caverne brûlante. Je me souviens surtout de cette chaleur, cette douceur émanant de tout son corps. Mon doigt, bien dirigé, se glisse sans effort au plus profond de son corps. Un gémissement, puis un autre, tout son corps ondule imperceptiblement. Quel bonheur !

Nous avons continué comme ça, jusqu’à ce que le soleil baisse et que la température soit moins supportable. Nous nous sommes rhabillés. Avons quitter ce lieu. Et jamais je ne la revis…
Ce fut pour moi l’une des plus belles rencontre de ma vie. Cette femme, une vraie femme, pas un canon de beauté, mais sa beauté est en elle.
Une princesse occitane que je n’ai pas honorée de mon sexe, mais elle restera pour moi « Ma Princesse Occitane ».

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