Une Saint Valentin exotique
mars 28, 2017 Histoires Erotiques
Cela avait commencé dans un congrès où j’avais rencontré une Asiatique plutôt BCBG à la peau ambrée et aux yeux de velours. Une irrégularité dans ses lèvres pulpeuses doublée d’une fossette coquine m’attira par son sex appeal dans le sens d’un appel au sexe si évident que je ne ratais pas l’occasion d’entrer en contact avec elle par mail. Son message de la Saint Valentin déclencha des hostilités savoureuses d’abord virtuelles avant de se transformer en quelque chose de très réelle. Je dosais sa cuisson à travers des messages bientôt accompagnés d’e-cards que je lui demandais d’interpréter, et découvrais qu’elle ne manquait ni d’imagination ni de fantaisie. Ce fut un 14 février le vrai élément déclencheur à l’occasion de l’envoi depuis son pays d’une déclaration relativement explicite. Cette Saint Valentin me mit le feu aux… poudres lorsqu’elle me raconta que du haut d’un immeuble de sa ville lointaine, elle avait contemplé des feux d’artifices qui lui firent penser à moi, à nous ( ?). Je l’interprétais aussitôt de cette manière, elle devant émerveillée par le spectacle devant ses yeux, moi derrière lui lutinant les fesses dans un assaut aussi esthétique que profond.
Quelques mois plus tard, elle se rendait à Paris où nous devions nous rencontrer. Auparavant, j’avais amplement baisé sa collègue et amie qu’elle m’avait recommandée comme pour me mettre… en jambes. Rendez-vous pris dans le Quartier Latin, pour l’exotisme. Je poireautais une demie heure dans le Café Danton avant qu’elle n’y débarque pas même en s’excusant. Comme nous n’avions jusque là échangé que dans le virtuel, je lui proposais une ballade dans le Jardin du Luxembourg. C’est là qu’elle me déclara tout de go « fait avec moi ce que tu veux, je ne te ferais aucun reproche, tu as toute licence, à toi d’en décider, je suis là… ». Je compris plus tard qu’elle le faisait aussi pour se venger de son amant dans son pays, mais la proposition ne tomba pas dans l’oreille d’un sourd…
Sans attendre je la conduisis dans un hôtel tout proche, le même où j’avais furieusement forniqué avec sa compatriote. En fait, j’avais déjà réservé une chambre au quatrième avec lit à baldaquin. Cela rendit les formalités à la réception plus brèves. Nous entrâmes tous deux dans un ascenseur poussif qui avait l’immense avantage de nous rapprocher sans pour autant se toucher ce qui renforçait nos émotions. La sienne perçait dans la transpiration qui s’exhalait d’elle. Cela renforça ma bandaison, déjà fort avancée pour ne pas dire levée. Ma bite se contorsionnait dans mon pantalon en quête de cible. Une fois entrés, comme elle s’était annoncée plutôt passive, je la déshabillais sans attendre en lui passant sa robe par dessus tête une fois sa veste ôtée.
Somptueuse, elle était somptueuse de formes et de courbes, tout en se sentant particulièrement gênée d’être ainsi dévoilée. La baise à venir sentait la muscade, le jasmin et les plus envoutant des parfums. Incroyable comme une femme peut déborder de charme offert à toutes mes convoitises secrètes. Je consentais à tirer le lourd rideau de velours, ce qui mit la chambre dans l’ombre, une ombre où la sienne resplendissait d’un appel tonitruant à la culbute. Ne restait que son soutif et sa culotte, le tout en noir avec une profusion de dentelles. Je les faisais rouler sous mes doigts avides et sa gêne monta en tension alors que je l’allongeais sur le lit en écartant ses cuisses pour dévoiler son sexe rosé. Jetant pêle mêle jean, caleçon, chemise et tout le reste, je ne lui laissais pas le temps de constater ce que j’éprouvais pour elle que mon hameçon de chair l’avait crocheté et qu’elle ouvrait des yeux épouvantés par le plaisir qui la submergeait sans s’annoncer.
Ses cuisses haut dressées lui donnaient belle allure alors que sa chatte bouillonnait autour de mon membre comme si je la lutinais depuis un bail. Manque, elle devait être sacrément en manque ce qu’elle me confirma plus tard. Dans tous les cas, elle ne se faisait pas prier et la souplesse de ses articulations lui libérait la corolle odorante artistiquement. De part et d’autre, sa poitrine soubressautait. Pas de mots mais des fesses. Penser à son allure BCBG alors que je la rencontrais pour la première fois me tendait la bitte comme pas possible. La trentaine bien tassée, l’éventail de son expérience était quelque peu limité, champ libre pour expérimenter. Corps bien fait, ses formes opulentes emplissant délicieusement sa peau ambrée. Ses yeux me fusillaient de lui donner ces sensations qu’elle semblait jurer comme inconnues d’elle. Je lui levais les cuisses pour m’enfoncer dans sa chatte on ne peut plus juteuse alors que fusaient des soupirs de plus en plus ardents. C’était trop bon pour que je jouisse tout de suite, je devais la travailler tout en l’initiant en même temps.
La baise devenait trop classique, alors je la retournais pour la mettre en levrette, une première pour elle. Elle rougit sans pouvoir se soustraire à l’injonction car elle m’avait donné toute licence. Je m’extasiais devant la plenitude de sa lune dense et massive à la fois. La forcer, forcer sa morale, outrepasser sa honte avait quelque chose de délictueux. Quelques claques douces et sèches sur son fessier offert, elle tourna vers moi un visage courroucé tout en reculant ses fesses pour m’inciter à m’y concentrer. Elle avait faim, elle avait faim d’amour. Je m’enfonçais à nouveau dans sa chatte débordante d’humeurs en grognant de plaisir pour lui communiquer ma satisfaction. Elle n’osait pas bouger alors que mes offensives intérieures forçaient en intensité. Je voyais battre ses lourdes mamelles qui en léchaient les draps. Elles volaient comme des raies mantas dans une nage complètement irrégulière. Je voulais lui plaquer la poitrine sur le lit, mais elle résistait, comme si m’abandonner des fesses démesurément levées l’incommodait aussi. C’est là que, oh surprise, elle passa une main entre ses cuisses pour mes flatter les bijoux de famille qui oscillaient entre elles. Elle eut un rire sardonique. Alors je la forçais jusqu’au fond de son con. Elle se baissa en relevant la tête pour mieux éprouver l’invasion en murmurant « so big », si grosse, « didn’t know before ». Elle ne connaissait pas. Sans doute que son baiseur d’amant l’avait plus petite. Je l’incitais à resserrer sa chatte pour l’étreindre.
C’est alors que je conçu autre chose.
La pipe, qu’elle me goute et que j’éprouve et la chaleur et la douceur des muqueuse de sa bouche. Je retirais la bitte, arrachais le latex et l’invitais à me sucer. Je compris à l’expression de son visage que c’était là quelque chose d’inhabituel, encore une premère pour elle. Tant mieux que je lui dis, tu vas vite apprendre, prend là et joue avec.
Elle s’exécuta tout en fermant les yeux, et c’était encore mieux.
Comme elle se refusait à ouvrir les yeux, je me redressais pour la regarder de face alors que mon vit l’honorait, tout comme elle, et bien que je rêvais de l’inonder d’une douche immonde, je me retins à nouveau pour l’initier à la réciprocité
Je plongeais langues et lèvres dans son cul comme on slurpe un dessert de première. Sa mouille avait un goût acidulé, de noisette. N’y tenant plus, elle se redressa d’un coup le visage en feu pour me faire comprendre qu’elle ne savait faire qu’une chose à la fois et que je devais choisir. J’étais déjà trop engagé dans son gout à elle, et voulu la faire exploser. Elle se retourna de bonne grâce en ouvrant largement ses cuisses alors qu’agenouillé au pied du lit je redoublais de suceries tout en pressant sur son clitoris devenu plus dur que de l’acier. Alors, elle hurla violemment et sans honte, en transgressant tous les critères de sa culture et en plantant dans mon cuir chevelu ses ongles tant une intensité inconnue la submergeait. Ce fut un pied d’enfer.
Je pensais la laisser reposer quand elle me fit comprendre que c’était mon tour et qu’elle me voulait dans sa bouche. Bien entendu, je m’exécutais curieux de découvrir comment cette néophyte pourrait bien s’en sortir ? À peine maladroite, juste ce qu’il faut, elle m’entreprit le membre avec bonne volonté, pour ne pas dire détermination évidente. Je m’étais tellement retenu que lorsque je sentis le plaisir m’envahir je lui larguais ma joie du plus fond de la soute de mes couilles en saisissant son crâne pour qu’elle n’échappe pas. Peine perdue, elle voulait tout et elle eut tout. Je m’affalais à ses côtés alors qu’espiègle, elle faisait tourner sa conquête, mon sperme dans sa bouche en m’interrogeant du regard pour savoir qu’en faire. J’éclatais d’un rire sonore en lui faisant comprendre qu’un liquide aussi précieux ne pouvait se perdre. Aussitôt dit, aussitôt fait, elle avala dans un plaisir rayonnant suprême !
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