Punitions


mars 28, 2017 Facebook Twitter LinkedIn Google+ Histoires Erotiques



Je l’attendais ce petit resto en amoureux, pour l’occasion, j’avais sortie le grand jeu, épilation intégrale, guêpière, petite robe moulante.

Alors que nous approchions de la commune ou nous devions diner, mon mari, braqua le volant a gauche et engagea la voiture sur un petit chemin de terre qui menait a la forêt communale. Après quelques mètres, il coupa le moteur et se retourna vers moi :

« -Comme ça l’autre jour que je n’étais pas la tu t’est fait du bien toute seule…. »
« …. »
« -Sans même une petite photo pour moi, les téléphones, Internet ça sert a quoi, descend . »

« -Mais chéri… »
« -Ta gueule, descend. »

Je m’exécutai .
 » -A poil. »
« -Quoi, ici, en pleine forêt. »
« -Tu comprends le Français,a poil j’ai dit. »

En quelques secondes je me retrouvai, nue, par une soirée fraiche, en pleine forêt.

« -A genoux, et mets ça, vite. » dit il en me tendant un bandeau.

J’obéis.

« C’est bien, bouge pas faut que j’aille pisser. »
Ne voyant rien je mis mon ouïe a l’épreuve, j’entendais ses pas s’éloignés, puis après quelques mètres, ceux si semblaient se rapprocher, il revenait.

« -C’est a cause de toi qu’on n’est pas au restaurant, et que je ne peut pas aller aux chiottes, donc il est normal que tu me serve d’Urinoir, salope. »

A peine, avait il fini sa phrase que j’entendit, sa braguette, descendre, puis vint le jet chaud sur mes seins, mon cou. J’aurais dû, a cause de mon éducation judéo chrétienne, être dégoutée, et pourtant je l’avoue j’aimais ça. Cette pisse qui dégoulinait sur mon corps, jusqu’a ma chatte, provoquait en moi une sensation jusqu’a maintenant inconnue.

« -Ouvre la bouche, trainée, vite »

je m’exécutai, je reçue les derniers jets dans la bouche, laissant couler une grande partie sur mes joues.

« -Alors comme ça tu te fait jouir, sans moi, Debout. »

Comme je trainai a me relever, une claque s’écrasa sur ma joue gauche.

« -Je vais t’apprendre, moi, et quand je dit un truc, tu le fait vite, et sans discuter. » Une deuxième claque, vint s’abattre sur l’autre joue en guise de ponctuation.

Il me guida vers ce qui devait être un arbre, sortis des bracelets et m’attacha. Mes bras faisaient le tour, mon ventre était plaqué contre le tronc.

« Cambre, toi. »

J’obéis.

La lanière d’un fouet vint rosir mon cul.

 » -Je vais t’apprendre. »

Deuxième coup de fouet, le cuir s’abattit sur mon cul, mes reins, encore et encore. Loin de détestée ça, j’inondais les racines de l’arbre de cyprine.

« -Tu mouille, trainée, goute a ton plaisir. »
Je sentie le manche du fouet me pénétrée, j’en voulais encore, puis il l’approcha de ma bouche. je le pris avec soin comme si c’était une bite.

Il me détacha.

 » – A genoux. »

Une fois en position je sentis le fouets sur ma poitrine, dieu que c’était bon. J’étais ça chose prête a tout recevoir.

« -Baise moi, svp. »

« – Pas ce soir, sinon ce ne serais pas une punition, ouvre la bouche, tu a gouté a ma pisse, voila mon sperme. »

J’avalais tout les jets que je reçue n’en laissant pas une goutte, que c’était bon.

Je me rhabillait, a regret, j’avais adorée cette escapade, et ce scénario en forêt.

« -Alors on se le fait ce resto. » me dit il en déposant un tendre baiser sur ma bouche.

La soirée fut inoubliable.

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