La première sodomie


mars 28, 2017 Facebook Twitter LinkedIn Google+ Histoires Erotiques



Il fut un temps où j’avais une estime particulière pour les suceuses, qui, loin d’être une pratique banale relève, à mon sens, de l’art, du grand art. N’est pas suceuse qui veut qu’elle avale ou non. Cela dit, celles qui ingurgitent figurent dans le haut du panier, si je puis m’exprimer ainsi. J’en arrivais même à développer une véritable mystique de la pipe… Pour être honnête, j’y fus initié par une certaine Annie-Claude. À la pipe, non, à sa mystique, oui. Mais c’est une autre histoire que je voudrais conter, celle de Saida que j’enculais pour la première fois. Non que ce soit pour moi la première (ni la dernière), mais, pour ce qui la concerne ce fut une inauguration impromptue dans un continent qu’elle n’imaginais pas praticable de cette manière, sans parler du plaisir que je lui arrachais.

Pour moi, Saida était une ancienne amante, une baiseuse de première mais qui ignorait cela. L’époque était aux partenaires successifs, pour ne pas dire multiples, dans un climat de libéralité sexuelle dont nul ne se plaignait. Un soir où je l’avais invitée avec un couple d’amis à dîner arrosé, je lui proposais de dormir à la maison… Elle accepta spontanément, sachant bien que nos relations n’avaient que récemment été interrompues. Je dois dire que « nos sangs étaient, à peine en secret, furieusement agités », et que j’avais souvenir d’une étreinte de ma jambe entre ses genoux sous la table sans aucune ambiguïté. Comme je l’ai dit, c’était une superbe baiseuse, qui savait se donner et exiger d’elle-même. Nous faisions l’amour avec une grande complicité, mais un jour, des choses étaient arrivées… Je ne m’en souviens qu’à peine, mais je me retrouvais avec une autre partenaire, et en écho, elle aussi… Je gardais le souvenir ému de son corps racé et tout de fermeté, et ce soir là, cela m’appâtait grave.

Ma chambre étant occupée par mon couple d’amis, je lui proposais la chambre d’amis, presque un cagibi sous les toits, mais qui avait l’avantage d’un lit une place. Juste ce qu’il fallait. OK, on dort ? Mais bien sûr que je lui répondais en me mettant entièrement à poil ! Elle jeta un regard coquin à ce qui tendait vraiment à se dresser entre mes jambes, et avant même de se dénuder, elle voulut me sucer tout en cueillant les bourses comme elle savait si bien faire. J’atteignais en une fraction de seconde la station verticale devant celle qui m’honorait assise sur le lit. Elle avait l’art d’une prise de gland très douce, tout en menaçant de l’affermir ça et là. C’était très bon, mais était loin de suffire, le souvenir de son corps et de ses courbes m’affamait. Je la déshabillais autant que je le pouvais dans la situation où elle était, puis la couchais sur le dos avant de l’enfiler latexé dans toute sa profondeur jusqu’à lui faire exploser des hoquets de sanglots. Bon dieu comme c’est bon, qu’elle m’assurait, ça faisait longtemps, dit !

Quelques mois seulement, mais le plaisir était intact. Elle mouillait abondamment au point de me ruisseler sur les parties. La musique qui l’astiquait avait un gout divin et des sonorités de rêve, cela faisait schlac et schlic, et d’autres bruits alors qu’elle se livrait sous ma chevauchée fantastique. Au lit, c’était une femelle de rêve, je me répète. La consistance de ses chairs et la douceur de ses seins, sa toison pubienne rêche et sa fente profonde, ses reins solides qui donnaient la réplique avec avidité, et son rythme, son rythme endiablé jamais en reste, ni retard, ni décalage, une épousailles parfaite au point que je m’interrogeais du pourquoi nous nous étions séparés.
Mais les états d’âmes n’étaient vraiment pas d’actualité dans ce concert de plaisir où nous nous exécutions avec une hargne de rattrapage accélérée. Alors que mes vives secousses, lui agitaient les seins, je la dévorais de baisers dans sa bouche gourmande. Autour de ma bitte, elle tressautait des cuisses, cabrait les reins et m’étreignait le dos de ce que je sentais presque comme des coups de griffe. De toute évidence, elle était en manque depuis quelques temps, et cela tombait très bien, car moi aussi !

Histoire de varier les plaisirs, je la retournais comme une crêpe en la mettant à plat ventre pratiquement sans m’extraire tellement la transition fut brève. Je n’avais plus son visage en face mais ses cheveux touffus où je me perdais pour aller mordiller sa nuque, dégager ses épaules nues et contempler son dos dont le dessin au-delà du creux des reins accusait une remontée spectaculaire à la provocation assumée. J’adorais vraiment son cul, ses belles fesses replètes et fermes qui me massaient le ventre. Je les écartais pour l’enfiler à vif galop pour nous remettre en scène sans perdre une seconde de contact. J’atteignais ainsi rapidement le fond de son con dans lequel je frappais du gland avec une envie d’y livrer un océan de foutre, mais je temporisais, saisissais ses deux seins qui débordaient en latéral, m’attardais sur ses hanches solides, et puis, et puis, d’un coup l’idée me vint de l’entreprendre ailleurs, en d’autres mots, de l’enculer, ce que nous n’avions jamais pratiqué ensemble.

La bitte puissamment humectée de son jus, je savais la proximité aisée à franchir, elle ne se doutait de rien, c’était certain. Je remontais la hausse du fut vers le petit canal discret tapis profondément dans sa vallée sombre. La queue en cœur de cible, je l’enfilais d’une traite, pratiquement à me la faire dévorer. Comme elle n’était pas sèche, j’y mettais toute la bonne volonté de ma bitte. Des soupirs, elle passa à un cri avec violence avant de s’agiter en tout sens dans un concert de surprise et de plaisir abruptement révélé. Haletante sous la poussée de cette occupation impromptue qui la clouait dans une jouissance ignorée, elle feula en se retournant brusquement vers moi « mais t’es où ? », qu’elle me demanda affolée ? Là, tu sais où,  c’est profond et très bon, ton étreinte est magique. Mais comment, qu’elle répliqua en s’agitant de plus belle, je ne connaissais pas, mais pourquoi ?

Elle en devint littéralement déchaînée, à se livrer dans une sauvagerie sans limites, et sans parler des mots qu’elle employait entre deux souffles, c’est cela se faire enculer, quelle niaise idiote j’étais, mais c’est trop bon, vas-y au plus profond, je te ressens jusque dans ma gorge, tu éclates dans ma tête, c’est de la baise de septième ciel, ça m’enflamme, je brûle, je brûle, je brûle… J’entendis alors son vagin éructer de secousses livrant une marre de cyprine sur mon lot. J’y plongeais les mains pour m’en repaître alors que mon vit toujours fiché dans son anus menaçait d’exploser. Vient là, exécute moi, qu’elle parvenait à peine à formuler alors que son corps était en nage. J’en peux plus, j’en peux plus, viens-y, crache, éteint moi, soit magnanime !

C’est ce que j’aimais chez Saida, sa capacité littéraire en pleine baise. Elle parvenait à grand’ peine à poursuivre ses tressaillements autour de son cœur de cible que j’occupais encore. Mais tu deviens plus gros encore, qu’elle se surprit ! Normal j’étais à deux doigts de livrer le jus de mes couilles dans son canal d’obscurité. Je me retenais une dernière fois, contemplais cette occupation radicale ma tige fichée dans le rond de son anus délectable, et puis ce fut la pluie, je criais à mon tour en lui balançant mes ultimes secousses. Ma jouisseuse de partenaire m’octroyait la réplique car des contractions anales qui répondaient à mes profondes éjaculations, et puis, ma bitte se rétracta. Elle exigea de la maintenir là fichée, un long moment encore pour éprouver la retraite progressive. C’est trop bon, trop bon qu’elle murmurait quand j’hésitais à quitter son havre infini. Tu es un diable, je ne connaissais pas, tu as révélé, tu m’as révélé un pan inexploré de sa sexualité, je ne saurais jamais autant te remercier

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