Homme de 38 ans, hétéro, réside en Ardèche en France. N’ayant aucun intérêt pour l’argent mais seulement pour le partage d’affection, je fonctionne d’une manière particulière.
Comprenant que la société de consommation provoque un individualisme progressivement important, accompagné d’une certaine forme de solitude, le but est de partager avec vous de l’affection.
Démarche peu commune, elle vise à lutter contre l’isolement sociétal, à savoir redonner l’attention dont vous êtes en manque. L’approche n’est pas artificielle dans le sens où il n’est pas espéré une réelle affluence dans ma proposition. Si vous êtes la seule personne y faisant appel, le projet aura reçu l’aboutissement nécessaire. Bref je n’attends pas foule mais vous.
De manière fondamentale, il est important de dire que vous ne serez pas jugée sur votre personne. Au contraire et avec coeur. En réalité, le but est de donner de l’affection sincère et de la considération profonde, notamment envers des gens qui sont en peine de ne pas en obtenir. Vous venez sans cette angoisse de ne pas être acceptée. Sincèrement, la solitude non désirée n’est pas un cadeau. Certains jours, ça provoque du chagrin. Entourée de tant de monde mais attentivement écoutée par si peu.
Si vous êtes en détresse affective, en manque d’attention, besoin de reconnaissance, de se confier à quelqu’un en toute simplicité, je suis là. Prendre le temps de parler, de partager ce qui est fragile, combien de moments de notre société ne le permettent plus ?
Ma présence est typiquement là pour vous redonner confiance en vous-même, vous rendre plus solide face à la parfois-âpreté du monde, retrouver un accord émotionnel entre votre corps, votre cœur et votre esprit. Il doit être profondément blessant de ne pas être estimé à sa valeur.
Focalisé sur le manque d’amour ou la piètre qualité émotionnelle du passé, chaque évènement négatif en vient à accentuer la pression.
Le vide amoureux peut provoquer une absence destructrice. Combien ai-je entendu : je n’ai jamais été aimée à ma juste valeur. Le manque d’épanouissement devient lourd, vous en arrivez à vouloir en finir. Et un jour, dans les journaux, on lit la souffrance puis le départ volontaire d’une âme fragile ; quelqu’un d’isolé victime du regard des autres. Absence de bienveillance, ô combien précieuse bienveillance. Combien était-ce évitable.
Notre rencontre peut s’imaginer de deux manières.
Je vis en autonomie complète dans une ferme isolée en Ardèche. Le site est idyllique. Vous pouvez y venir en vacances, afin de prendre un congé de la société et de vous recentrer sur vous-même.
Autrement et pour autant que ça soit faisable d’un point de vue géographique, je peux venir vous voir lors d’une tournée d’herboristerie. En contrepartie, je serai à ce moment sans domicile.
Dans tous les cas, un paisible échange d’e-mails ou d’appels téléphoniques est souhaitable. Brûler les étapes risque d’être néfaste et par là même, dégrader la confiance en soi.
En pratique, je refuse tout paiement en argent. En contrepartie, vivant en autonomie, j’ai besoin d’un certain nombre d’éléments que je ne peux produire : chocolat, café, riz, quinoa… La perception du moment est totalement différente. Il s’agit d’entraide avant tout.
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